Le manque d'adhérence est responsable d'un pourcentage élevé d'accidents, ce qui oblige à faire de gros efforts pour obtenir des routes avec de bonnes conditions antidérapantes..
Du point de vue de la sécurité routière, il est nécessaire d'analyser le phénomène d'adhérence entre le pneumatique et la chaussée, qui diminue avec la dégradation des caractéristiques de surface de la chaussée.
Pour que la circulation routière se déroule de manière sûre et confortable, la surface de la route doit répondre à certaines caractéristiques de surface. L'une des plus importantes est la résistance au dérapage, qui permet aux conducteurs d'accélérer, de freiner et de changer de direction sans que le véhicule ne glisse.
La résistance au glissement peut varier en raison de quatre phénomènes, qui ne se produisent pas individuellement, mais plutôt plus d'un peut se produire en même temps : Usure mécanique due principalement au polissage dû à l'action du trafic, décapage du liant, variations saisonnières et enfin, l'effet du vieillissement.
L'aquaplaning est essentiellement associé à la macrotexture de la chaussée. Il se produit lorsqu'un film d'eau sépare la roue de la surface de la route. Ce phénomène dépend de la vitesse et du poids du véhicule, des caractéristiques et de l'état des pneumatiques, de la macro-texture et de l'épaisseur de l'eau sur la chaussée.
Bien qu'il existe de nombreuses variables qui interviennent, la plus fondamentale est la présence d'eau dans la chaussée avec une profondeur critique.
Le risque d'aquaplanage de chaque tronçon de route est déterminé en étudiant la topographie de la chaussée : sa géométrie, le dévers et la macrotexture qui déterminent sa capacité à évacuer l'eau.
Au cours des dernières années, nous avons réalisé différents travaux d'hydrobroyage dans toute la péninsule afin d'augmenter la sécurité routière EN RÉDUISANT À ZÉRO LES ACCIDENTS.